1986 Affiche de Théâtre Polonais, Kordian - Get Stankiewicz (homme aux doigts)
1986 Affiche de Théâtre Polonais, Kordian - Get Stankiewicz (homme aux doigts)
1986 Affiche de Théâtre Polonais, Kordian - Get Stankiewicz (homme aux doigts)

1986 Affiche de Théâtre Polonais, Kordian - Get Stankiewicz (homme aux doigts)

Prix régulier $175.00
/
Frais d'expédition calculés lors du passage à la caisse.

Date: 1986
Dimensions:
26,25 x 38 pouces
Artiste: Get-Stankiewicz, Eugeniusz

À propos de l'affiche: Les affiches polonaises se démarquent des conventions de conception publicitaire favorisées en Europe au cours du 20e siècle. C’est sous le régime communiste, époque où la culture était étroitement surveillée par l’État, que les artistes polonais ont trouvé leur libération dans l’art de l’affiche. Ironiquement, cette forme d’art public de premier plan est devenue un terrain d’expression individuelle. Durant cette période, les institutions culturelles (du théâtre et du cinéma en particulier) ont prospéré grâce à leur financement par les agences gouvernementales. Les artistes fraîchement sortis de l’académie des beaux-arts se sont rués vers la production d’affiches alors que la demande pour cet art augmentait rapidement. Le résultat est devenu certaines des affiches les plus uniques et expressives que le monde ait jamais vues – et des œuvres d’art en elles-mêmes.

Tirée de mon nouveau site Web préféré culture.pl, une explication légèrement déformée de cette affiche:

À propos de l'artiste: Get Stankiewicz est principalement connu pour ses œuvres de pastiche d'autoportraits. Il utilise le motif de son propre visage ou de sa silhouette et parle du « récit de sa propre tête ». Cette « tête » ressemble aux études des anciens physionomistes et peut jouer toutes sortes de rôles. Il apparaît sur diverses affiches et il a été noté que:

Eugeniusz Get-Stankiewicz n'est pas seulement un artiste de premier plan, mais aussi une personne qui, aussi loin que je me souvienne, était une légende dans la ville. Cette légende remonte aux années soixante dorées et à la contre-culture étudiante. On pourrait en dire beaucoup sur ce sujet, mais il convient avant tout d'insister sur la source de cette légende. C’était en fait une certaine manière d’être de Get, que je qualifierais de socratesienne et rabelaisienne. On retrouve cette caractéristique dans beaucoup de ses œuvres, qui surprennent par leur manière indépendante de voir et de réfléchir intellectuellement. Cette indépendance peut être considérée comme l'un des traits les plus typiques de sa personnalité et de son art.

L’affiche est en excellente condition générale et prête à être encadrée.