1987 Affiche de Théâtre Polonaise - 13e Festival de Théâtre de Marionnettes (Get-Stankiewicz)
1987 Affiche de Théâtre Polonaise - 13e Festival de Théâtre de Marionnettes (Get-Stankiewicz)
1987 Affiche de Théâtre Polonaise - 13e Festival de Théâtre de Marionnettes (Get-Stankiewicz)
1987 Affiche de Théâtre Polonaise - 13e Festival de Théâtre de Marionnettes (Get-Stankiewicz)

1987 Affiche de Théâtre Polonaise - 13e Festival de Théâtre de Marionnettes (Get-Stankiewicz)

Prix régulier $150.00
/
Frais d'expédition calculés lors du passage à la caisse.

Date: 1987

Taille: 25.5 x 38 pouces

Artiste: Get-Stankiewicz, Eugeniusz

À propos de l'affiche : Les affiches polonaises se démarquent des conventions de conception publicitaire adoptées en Europe au cours du XXe siècle. C'est sous le régime communiste, une époque où la culture était étroitement surveillée par l'État, que les artistes polonais ont trouvé la libération dans l'art de l'affiche. Ironiquement, cette forme d'art public de premier plan est devenue un terrain d'expression individuelle. À cette époque, les institutions culturelles (notamment du théâtre et du cinéma) ont prospéré car elles étaient financées par des agences gouvernementales. Les artistes fraîchement sortis de l'académie des beaux-arts se sont rués vers la production d'affiches car la demande pour cet art augmentait rapidement. Le résultat est devenu certaines des affiches les plus uniques et les plus expressives que le monde ait jamais vues - et des œuvres d'art en elles-mêmes.

À propos de l'artiste :
Get-Stankiewicz est principalement connu pour ses œuvres pastiches d'autoportraits. Il utilise le motif de son propre visage ou de sa silhouette et parle du « récit de sa propre tête ». Cette « tête » ressemble aux études des anciens physionomistes et peut jouer toutes sortes de rôles. Il apparaît sur diverses affiches et il a été noté que : « Eugeniusz Get-Stankiewicz n’est pas seulement un artiste de premier plan, mais aussi une personne qui, aussi longtemps que je me souvienne, était une légende dans la ville. Cette légende remonte aux années soixante et à la contre-culture étudiante. On pourrait en dire beaucoup à ce sujet, mais il faut avant tout souligner la source de cette légende. C’était en fait la manière d’être de Get, que je qualifierais de socratienne et de rabelaisienne. On retrouve cette caractéristique dans beaucoup de ses œuvres, qui surprennent par leur manière indépendante de voir et de réfléchir intellectuellement. Cette indépendance peut être considérée comme l’un des traits les plus typiques de sa personnalité et de son art. »

L’affiche est en bon état général et prête à être encadrée !