Date de Conception Originale: 1971
Réédition: 2000
Dimensions: 25 x 32,5 pouces
Artiste: Calder, Alexandre
À propos de l'affiche: Cette affiche est une réédition d'une exposition d'Alexander Calder en 1971 à la Galerie Pace/Columbus, dans l'Ohio.
À propos d'Alexander Calder: « Alexander Calder (22 juillet 1898 – 11 novembre 1976) fut un sculpteur et artiste américain célèbre pour ses sculptures mobiles. En plus de la sculpture mobile et stable, Alexander Calder créa également des peintures, des lithographies, des jouets, des tapisseries, des bijoux et des objets ménagers... Calder obtiendra un diplôme de Stevens en 1919. Au cours des années suivantes, il occupa divers postes d'ingénierie, notamment en tant qu'ingénieur hydraulique et dessinateur pour la New York Edison Company... Il déménaga à New York et s'inscrit à la Ligue des étudiants en art, étudiant brièvement avec Thomas Hart Benton et John Sloan, entre autres.[14] Pendant ses études, il travailla pour la National Police Gazette où, en 1925, l'une de ses missions fut de dessiner les frères Ringling et le cirque Barnum et Bailey. Calder devint fasciné par le cirque, un thème qui réapparaîtra dans ses travaux ultérieurs...
En 1926, Calder s'installe à Paris où il ouvre un atelier au 22 rue Daguerre dans le quartier Montparnasse. En juin 1929, alors qu'il voyageait en bateau de Paris à New York, Calder rencontra sa future épouse, Louisa James, petite-nièce de l'auteur Henry James et du philosophe William James. Ils se marièrent en 1931. À Paris, Calder rencontra et se lia d'amitié avec des artistes d'avant-garde, dont Joan Miró, Jean Arp et Marcel Duchamp. Calder et Louisa retournèrent en Amérique en 1933 pour s'installer dans une ferme qu'ils achetèrent à Roxbury, dans le Connecticut, où ils élèveront leur enfants (première fille, Sandra, née en 1935, deuxième fille, Mary, en 1939).
En 1962, Calder s'installe dans son nouvel atelier Carroi, au design futuriste et dominant la vallée de la Basse Chevrière à Saché en Indre-et-Loire (France). Il n'hésitait pas à offrir ses gouaches et petits mobiles à ses amis de la campagne ; il fit même don à la ville d'un trônant stable, situé depuis 1974 devant l'église: une anti-sculpture libérée de la gravité. Tout au long de sa carrière artistique, Calder nomma plusieurs de ses œuvres en français, quel que soit l'endroit où elles étaient destinées à être éventuellement exposées. " (Source : Wikipédia)